1
t de la forêt normande, il m’en revient un nom de
Table ronde
: Lucrèce d’Aubray, Dame de l’Aigle et du Lac… Cette aïeule qui me so
2
octrine secrète aux « romanciers » du cycle de la
Table ronde
. Et l’on peut suivre les voies de cette transmission dans les documen
3
aal le vase qui reçut le sang du Christ, et de la
Table ronde
une sorte d’autel pour la Sainte-Cène. Cependant, même dans le grand
4
xactement identifiables que dans les romans de la
Table ronde
. ⁂ Hubert note très bien à propos de la littérature galloise que « c’
5
bsiste également dans Tristan et les romans de la
Table ronde
. On y voit un grand nombre d’aventures débuter par une promesse « en
6
de confusions de symboles. 77. Les Romans de la
Table ronde
, nouvellement rédigés par J. Boulenger, IV, p. 238. 78. Dans un autr
7
ançois nommait le frère Gilles « un paladin de sa
Table ronde
», et les miracles du saint — comme la conversion du loup de Gubbio —
8
ésert, et les apôtres, les douze chevaliers de la
Table ronde
. Or, selon Rahn, la Table ronde du Parzival, au sanctuaire de Montség
9
chevaliers de la Table ronde. Or, selon Rahn, la
Table ronde
du Parzival, au sanctuaire de Montségur ou « Montsalvat » — dernière
10
légende celtique d’Arthur et des chevaliers de la
Table ronde
. Dans son Penseroso, éloge de la Mélancolie nocturne, s’adressant à c
11
des tournois emprunte ses idées aux romans de la
Table ronde
. Ainsi, au xve siècle, le Pas d’Armes dit de la Fontaine des Pleurs
12
sang. (Ainsi fait Lancelot dans les romans de la
Table ronde
.) « L’atmosphère de passion qui entourait les tournois explique l’hos
13
vivre ». Les légendes épiques et les romans de la
Table ronde
multiplient les récits de tueries inouïes ; la gloire d’un chevalier
14
rine de l’amour aux « romanciers » du cycle de la
Table ronde
. Et l’on peut suivre les voies de cette transmission dans les documen
15
aal le vase qui reçut le sang du Christ, et de la
Table ronde
une sorte d’autel pour la Sainte Cène. Cependant, même dans le grand
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xactement identifiables que dans les romans de la
Table ronde
. ⁂ Hubert note très bien à propos de la littérature galloise que « c’
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bsiste également dans Tristan et les romans de la
Table ronde
. On y voit un grand nombre d’aventures débuter par une promesse « en
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de confusions de symboles. 90. Les Romans de la
Table ronde
, nouvellement rédigés par J. Boulenger, IV, p. 238. 91. Dans un autr
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ançois nommait le frère Gilles « un paladin de sa
Table ronde
», et les miracles du saint — comme la conversion du loup de Gubbio —
20
ésert, et les apôtres, les douze chevaliers de la
Table ronde
. L’ésotérisme manichéisant, toujours latent dans le cycle breton, ren
21
légende celtique d’Arthur et des chevaliers de la
Table ronde
. Dans son Penseroso, éloge de la Mélancolie nocturne, s’adressant à c
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des tournois emprunte ses idées aux romans de la
Table ronde
. Ainsi, au xve siècle, le Pas d’Armes dit de la Fontaine des Pleurs
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sang. (Ainsi fait Lancelot dans les romans de la
Table ronde
.) « L’atmosphère de passion qui entourait les tournois explique l’hos
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vivre ». Les légendes épiques et les romans de la
Table ronde
multiplient les récits de tueries inouïes ; la gloire d’un chevalier
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rine de l’amour aux « romanciers » du cycle de la
Table ronde
. Et l’on peut suivre les voies de cette transmission dans les documen
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aal le vase qui reçut le sang du Christ, et de la
Table ronde
une sorte d’autel pour la Sainte-Cène. Cependant, même dans le grand
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xactement identifiables que dans les romans de la
Table ronde
. ⁂ Hubert note très bien à propos de la littérature galloise que « c’
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bsiste également dans Tristan et les romans de la
Table ronde
. On y voit un grand nombre d’aventures débuter par une promesse « en
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de confusions de symboles. 82. Les Romans de la
Table ronde
, nouvellement rédigés par J. Boulenger, IV, p. 238. 83. Dans un autr
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ançois nommait le frère Gilles « un paladin de sa
Table ronde
» et les miracles du saint — comme la conversion du loup de Gubbio —
31
ésert, et les apôtres, les douze chevaliers de la
Table ronde
. L’ésotérisme manichéisant, toujours latent dans le cycle breton, ren
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légende celtique d’Arthur et des chevaliers de la
Table ronde
. Dans son Penseroso, éloge de la Mélancolie nocturne, s’adressant à c
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des tournois emprunte ses idées aux romans de la
Table ronde
. Ainsi, au xve siècle, le Pas d’Armes dit de la Fontaine des Pleurs
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sang. (Ainsi fait Lancelot dans les romans de la
Table ronde
.) « L’atmosphère de passion qui entourait les tournois explique l’hos
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vivre ». Les légendes épiques et les romans de la
Table ronde
multiplient les récits de tueries inouïes ; la gloire d’un chevalier
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t de la forêt normande, il m’en revient un nom de
Table ronde
: Lucrèce d’Aubray, Dame de l’Aigle et du Lac… Cette autre aïeule qui
37
gent de l’Histoire. f. « Prototype T.E.L. », La
Table ronde
, Paris, n° 49, janvier 1952, p. 32-44.
38
an Schuman. Dès le lendemain s’ouvrait à Rome une
table ronde
, convoquée par le Conseil de l’Europe aux fins de définir « le problè
39
usqu’ici on ne nous a point accablés ? Quant à la
table ronde
de Rome, elle avait reçu pour mission de s’occuper précisément de « l
40
personnel — de la conduite des débats. Ce que la
table ronde
a fait avec éclat, grâce à la participation de six personnalités poli
41
us ? Je n’imagine pas de meilleure devise pour la
table ronde
de l’Europe qui s’est tenue à Rome l’automne dernier. Pour situer rap
42
urope où germa, voici quelques mois, l’idée d’une
table ronde
européenne. La construction de l’Europe avançait, mais lentement : éc
43
renaissance de notre unité compromise. Certes, la
table ronde
n’a pas trouvé de solutions faciles, ni de recettes miraculeuses pour
44
s certitudes relatives fondées sur la science, la
table ronde
a affirmé la nécessité du dialogue fécond, de la mise en question réc
45
te de nos positions économiques dans le monde, la
table ronde
a conclu à la nécessité « d’opérer un changement radical dans nos rap
46
ral ce que nous perdons en apports extérieurs. La
table ronde
n’a pas dressé les plans d’une civilisation modèle. Mais elle a décla
47
n lira ci-dessous les conclusions adoptées par la
table ronde
: document d’autant plus notable qu’il fut rédigé le dernier jour par
49
us ? Je n’imagine pas de meilleure devise pour la
table ronde
de l’Europe qui s’est tenue à Rome l’automne dernier. Pour situer rap
50
urope où germa, voici quelques mois, l’idée d’une
table ronde
européenne. La construction de l’Europe avançait, mais lentement : éc
51
renaissance de notre unité compromise. Certes, la
table ronde
n’a pas trouvé de solutions faciles, ni de recettes miraculeuses pour
52
s certitudes relatives fondées sur la science, la
table ronde
a affirmé la nécessité du dialogue fécond, de la mise en question réc
53
te de nos positions économiques dans le monde, la
table ronde
a conclu à la nécessité « d’opérer un changement radical dans nos rap
54
ses ce que nous perdons en apports extérieurs. La
table ronde
n’a pas dressé les plans d’une civilisation modèle. Mais elle a décla
55
s qui ont passé par l’école, depuis un siècle. La
table ronde
ne pouvait manquer d’en parler à son tour. Par malheur, elle m’a paru
56
ai par trois exemples, empruntés aux débats de la
table ronde
, ce qu’il convient d’appeler, non la doctrine mais l’attitude fédéral
57
notion trouve sa place dans les conclusions de la
table ronde
. M. Kogon. — L’Europe a une contribution particulière à donner à la
58
ar l’occupant. Il dépend de vous, Messieurs de la
Table ronde
, il dépend d’efforts comme le vôtre, il dépend de nous tous, Européen
59
ombreux exemples dans les comptes rendus de notre
table ronde
, encore que, dans bien des cas, les rédacteurs soient les seuls respo
60
orateurs avaient soigneusement évitées. k. « La
table ronde
de l’Europe », Preuves, n° 35, Paris, janvier 1954, p. 3-11. Le texte
61
irituel. Il avait été décidé finalement que cette
table ronde
se réunirait à Rome le 13 octobre et siégerait pendant quatre jours,
62
onner la réunion, mettrait à la disposition de la
table ronde
la villa Aldobrandini, et prendrait toutes les dispositions matériell
63
onnalités qui ont participé aux discussions de la
table ronde
de l’Europe : M. de Gasperi, ancien président du Conseil italien ; M.
64
omatique, qu’a eu lieu l’ouverture publique de la
table ronde
. Elle a pris fin officiellement le vendredi 16 octobre par une réunio
65
la souveraineté nationale. Lors des débats de la
table ronde
de l’Europe, à Rome, deux arguments m’ont frappé, comme étant propres
66
e comme celle d’un ami. Ce fut à l’occasion de la
table ronde
convoquée l’an dernier à Rome par le Conseil de l’Europe. Pendant les
67
tion. Mais s’il est vrai que les chevaliers de la
Table ronde
agissaient d’ordinaire isolément, ou deux par deux, ils se sentaient
68
xaminons d’abord la possibilité d’un séminaire ou
table ronde
groupant des écrivains russes et européens. Cette possibilité a toujo
69
es écrivains du monde entier devraient avoir leur
table ronde
. Nous pouvons avoir des opinions différentes, mais une chose doit nou
70
s d’Orient et d’Occident. On voit donc que cette
table ronde
, dans l’esprit de Cholokhov, ne devrait pas réunir seulement des Russ
71
invitation, essayons de voir comment une pareille
table ronde
pourrait se réaliser, sans que ni d’un côté ni de l’autre on n’ait l’
72
s débats, soit dans la composition du groupe24.
Table ronde
d’écrivains Thème général : « Le rôle social de l’écrivain ». Lie
73
le point de départ d’une journée des débats de la
table ronde
. Seraient éliminés tous sujets considérés par l’une ou l’autre partie
74
aris ! aa. « Tableau du phénomène courtois », La
Table ronde
, Paris, n° 97, janvier 1956, p. 16-27.
76
lletin de novembre-décembre 1953), de la première
table ronde
de l’Europe, organisée à Rome, en octobre 1953, par le Conseil de l’E
77
tées et mises au point au cours de cette deuxième
table ronde
. Le directeur du CEC présidera, cette fois encore, les débats, auxque
78
de cette importante réunion. ag. « Une deuxième
table ronde
de l’Europe », Bulletin du Centre européen de la culture, Genève, n°
79
la souveraineté nationale. Lors des débats de la
table ronde
de l’Europe tenue à Rome en 1953, deux arguments m’ont frappé comme é
80
sner, op. cit.) a. « La voie et l’aventure », La
Table ronde
, Paris, n° 109, janvier 1957, p. 9-22. Il s’agit du chapitre I de L’
81
euples. 14. Emmanuel Berl, « Hors du réel », La
Table ronde
, janvier 1957. 15. D’une lettre que m’écrit à ce sujet le comte Jean
82
« De l’unité de culture à l’union politique », La
Table ronde
, Paris, n° 113, mai 1957, p. 10-15.
83
c. « [Lettre en réponse à Emmanuel Berl] », La
Table ronde
, Paris, n° 113, mai 1957, p. 31. Introduit par la note suivante de l’
84
ypiquement européen ! À tel point que pendant une
table ronde
de l’Europe, que je présidais à Rome il y a quelques années, agacé pa
85
s. III. Solution proposée : 1° Convocation d’une
table ronde
des organisations culturelles européennes, à laquelle seraient invité
86
esoins une fois connus, les participants de cette
table ronde
pourraient se tourner vers les gouvernements et leur proposer une réu
88
is, 1935. m. « Le nationalisme et l’Europe », La
Table ronde
, Paris, n° 147, mars 1960, p. 9-26.
89
mmunauté — l’unité de notre culture ? Pendant une
table ronde
que je présidais à Rome, il y a quelques années, agacé par les object
90
Un séminaire pour « jeunes responsables » et une
table ronde
des institutions culturelles européennes furent organisés par la Fond
91
ouveau lors du congrès de Copenhague, en 1960. La
table ronde
est destinée à permettre une meilleure coordination des activités aut
92
uvai placé entre eux deux devant les micros d’une
table ronde
improvisée par les dirigeants de l’UEF. Ces derniers préconisaient la
93
x, La Joie civilisatrice chez les troubadours (La
Table ronde
, janvier 1956) et La Joie d’amour et l’Occident (Les Cahiers du Sud,
94
. André Varagnac : Comment est née l’Europe ?, La
Table ronde
, n° 113. 3. Hegel puis Ranke ont fortement souligné l’importance de
95
ndré Varagnac, « Comment est née l’Europe ? », La
Table ronde
, n° 113, Paris, 1957, et L’Homme avant l’écriture, Armand Colin, Pari
96
mon ordinaire, prévu pour introduire un débat de
table ronde
. Henri Brugmans, qui préside, me présente comme l’un des auteurs qu’o
97
la passion. Les troubadours, les romanciers de la
Table ronde
, Tristan ont affiné et « compliqué » les sentiments, donc ont fait fa
98
n érotisme raffiné, les romanciers du cycle de la
Table ronde
, modèles de l’aventure spirituelle et de la passion. Mais aujourd’hui
99
de commun ! Un jour, tandis que je présidais une
table ronde
du Conseil de l’Europe, irrité par ce genre d’objections à l’union, j
101
itole de Rome, lors de la séance de clôture de la
table ronde
organisée par le Conseil de l’Europe, en octobre 1953. Présidée par l
102
le directeur du Centre européen de la culture, la
table ronde
groupait des publicistes, écrivains et professeurs représentant les p
103
s ? Je n’imagine pas de meilleur motto pour cette
table ronde
de l’Europe, dont je viens d’avoir l’honneur de diriger les débats pe
104
urope où germa, voici quelques mois, l’idée d’une
table ronde
européenne. La construction de l’Europe avançait mais lentement : éco
105
ar vingt-et-un chevaliers autour de cette moderne
table ronde
, et dont les mille échos remplissent encore sa tête ? Laissez-moi don
106
je sens se former en moi. Le souci dominant de la
table ronde
était de dégager, pour nos contemporains, une large vision de notre s
107
ar l’occupant. Il dépend de vous. Messieurs de la
Table ronde
, il dépend d’efforts comme le vôtre, il dépend de nous tous Européens
108
n érotisme raffiné, les romanciers du cycle de la
Table ronde
, modèles de l’aventure spirituelle et de la passion. Mais aujourd’hui
109
t à tel point que tout en présidant une imposante
table ronde
du Conseil de l’Europe, à Rome, j’avais noté sur un bout de papier «
110
e et Jérusalem, la papauté et le Saint-Empire, la
Table ronde
du roi Arthur et les communes, toutes leurs valeurs, tous leurs confl
111
surgira l’histoire. 7. Emmanuel Berl, dans La
Table ronde
, janvier 1957. 8. Cf. Monumenta Germaniae, chronica minora, vol. Il,
112
de commun ! Un jour, tandis que je présidais une
table ronde
du Conseil de l’Europe, irrité par ce genre d’objections à l’union, j
113
découvreurs Galaad et Perceval… L’aventure de la
Table ronde
finit aussi par un échec complet… (p. 89). L’instinct de mort et de s
114
urtois, Flamenca et Jaufré, dans les romans de la
Table ronde
et dans le Parzifal de Wolfram d’Eschenbach, où les amants se couchen
115
de littéraire des troubadours et des romans de la
Table ronde
domine encore, dans la proportion de dix millions d’adeptes fervents,
116
re. Il y a vingt ans de cela, en 1953, pendant la
table ronde
organisée à Rome par le Conseil de l’Europe, Arnold Toynbee nous expl
117
s européennes (19 septembre 1974)h La première
table ronde
, tenue à Rome, s’était demandé : d’où vient l’Europe, et sur quelles
118
turelle édifier son union politique ? La deuxième
table ronde
, que nous inaugurons, se demande plutôt : où va l’Europe ? et plus ex
119
es !) Pour tout dire d’un mot : entre la première
table ronde
et celle d’aujourd’hui, expliquant tout ce qui les rend différentes,
120
urs sont en définitive les moyens. De la première
table ronde
sont nés, nous dit un document récent émanant du Conseil de l’Europe,
121
Et voici qu’apparaît clairement le sujet de notre
table ronde
: pour sortir de la Crise mondiale, de ses contradictions et de ses i
122
t des valeurs européennes », Actes de la deuxième
table ronde
du Conseil de l’Europe sur « La promesse du xixe siècle », Strasbour
123
II. Strasbourg : la deuxième
table ronde
du Conseil de l’Europe (« Promesses du xxe siècle ») Du 18 au 22 s
124
e 1953, j’avais été appelé à présider la première
table ronde
du Conseil de l’Europe. Elle réunissait à la villa Aldobrandini puis
125
Europe eut l’heureuse idée de réunir une deuxième
table ronde
, et d’en confier l’organisation à M. Y. Rodrigues, conseiller diploma
126
evait situer en quelques mots les objectifs de la
table ronde
et en expliquer le titre : En élaborant le programme des manifestati
127
ncer pour inaugurer les travaux de cette deuxième
table ronde
et la relier à la première. Voici mon texte, légèrement abrégé. La
128
fondement des valeurs européennes La première
table ronde
, tenue à Rome en 1953, s’était demandé : d’où vient l’Europe, et sur
129
turelle édifier son union politique ? La deuxième
table ronde
, que nous inaugurons, se demande plutôt : où va l’Europe ? et plus ex
130
es !) Pour tout dire d’un mot : entre la première
table ronde
et celle d’aujourd’hui, expliquant tout ce qui les rend différentes,
131
urs sont en définitive les moyens. De la première
table ronde
sont nés, nous dit un document récent émanant du Conseil de l’Europe,
132
Et voici qu’apparaît clairement le sujet de notre
table ronde
: pour sortir de la Crise mondiale, de ses contradictions et de ses i
133
érales d’évolution de l’idée européenne depuis la
table ronde
de Rome, quand la plupart d’entre nous voulaient croire que la naissa
134
s politiques nécessairement « irréversibles »… La
table ronde
qui se termine aujourd’hui est née de la crise qui vient, pour tenter
135
tion. Mais s’il est vrai que les chevaliers de la
Table ronde
agissaient d’ordinaire isolément, ou deux par deux, ils se sentaient
136
Allemagne et au Benelux, et des douze Sages de la
table ronde
réunie pour le vingt-cinquième anniversaire du Conseil de l’Europe. C
137
ppelle irrésistiblement les débats de la première
table ronde
de l’Europe que je présidai à Rome puis à Strasbourg, en 1954 je croi
138
, Genève, n° 2, été 1978, p. 76-82. e. Voir « La
table ronde
de l’Europe » ( Preuves , janvier 1954) et « Une prise de conscience
139
Européens à partir du xiie siècle (romans de la
Table ronde
, mythe de Tristan). L’apport arabe est triple : éléments de chimie et
140
e, les Eddas, les Nibelungen, et les Romans de la
Table ronde
, joue dès lors un rôle comparable à celui de la tragédie grecque et d
141
reprennent le flambeau européen : Preuves et La
Table ronde
à Paris, Encounter à Londres, Tempo Presente à Rome, Forum à Vienne,
142
ie pour l’Europe », in La Promesse du XXe siècle,
table ronde
du Conseil de l’Europe, 1974. 20. États de l’environnement, 1977, O
143
l’avais invité à titre d’expert scientifique à la
table ronde
du Conseil de l’Europe en 1965, à Strasbourg, et il avait trouvé l’oc
144
é en 1939. Nous sommes imprégnés des récits de la
Table ronde
, ils sont entrés dans nos gènes, même si nous n’en avons pas conscien
145
tedt, recteur de l’Université de Lund), réunis en
table ronde
à Rome sous les auspices du Conseil de l’Europe, avec une trentaine d
146
nt pour les défendre et les illustrer : ce fut la
table ronde
de l’Europe, réunie à Rome en octobre 1953. Elle siégea sous les lamb
147
v Des groupes d’études prirent la suite de cette
table ronde
, à Strasbourg, en mars 1956, chargés de tirer les conclusions des tra
148
coloré de sacré, les ordres de chevalerie ; — la
Table ronde
, connue par les romans bretons, qui est une commune, une communauté a